[25 mai 2021] C’est avec une grande fierté que nous vous présentons la nouvelle programmation de recherche de KHEOPS. Nous remercions le comité scientifique pour son implication et tout particulièrement les responsables d’axe pour leur travail remarquable : Sofiane Baba, Maude Brunet, Marie-Andrée Caron et Nathalie Drouin.

Le programme de recherche de KHEOPS vise à développer des connaissances sur les grands projets d’infrastructure dans une perspective multidisciplinaire. Il s’articule autour de deux grands axes.

 
Axe Société
Repenser la valorisation des grands projets d’infrastructure

 

Responsables :
Sofiane Baba (Université de Sherbrooke)
Marie-Andrée Caron (École des sciences de la gestions de l’université du Québec à Montréal)

Les travaux de cet axe portent sur la valorisation sociétale des grands projets d’infrastructure (GPI) : quelles sont les conditions nécessaires pour prendre en compte la valorisation sociétale dans la prise de décision, ceci tout au long du cycle de vie des GPI, y compris pendant leur démantèlement?

Axe gouvernance
Concevoir une gouvernance durable

 

Responsables :
– Maude Brunet (HEC Montréal)
Nathalie Drouin (École des sciences de la gestions de l’université du Québec à Montréal) (par intérim)

Les travaux de cet axe portent sur la gouvernance des grands projets d’infrastructure (GPI) dans une perspective de durabilité : comment la gouvernance des GPI peut-elle intégrer des valeurs sociales et plus largement les principes de développement durable?

« La programmation scientifique proposée par KHEOPS se démarque par son approche courageuse visant à repenser la valorisation des grands projets d’infrastructure. Elle propose précisément de dépasser le paradigme traditionnel, orienté notamment vers les indicateurs financiers et techniques, et d’adopter un regard plus holistique qui intègre des préoccupations sociales et environnementales. »

Sofiane Baba

« Cette programmation contribue à faire avancer la recherche de plusieurs façons. Par exemple, elle s’intéresse aux modalités d’usage des indicateurs sociaux dans une perspective de recherche engagée. Elle tient compte de la complexité inhérente à la gestion des infrastructures et se penche sur les nouveaux modes de gouvernance qu’engendre la co-construction avec les acteurs concernés. »

Marie-Andrée Caron